Il n’y a pas qu’à Manchester et à Liverpool où l’on broie des idées noires et où l’on bâtit sur les décombres de la new wave glaciale. Dans l’ouest londonien aussi, les fantômes de Joy Division et d’Echo and the Bunnymen hantent ce quatuor qui assume crânement cette ambiance morbide et cette pop lyrique à guitares tranchantes. La vérité si je mens!