On se souvient au début des années 2010 d’un des premiers concerts de Jake Bugg où un morceau de Robert Johnson était diffusé juste avant son entrée sur scène. Difficile pourtant de définir le style du jeune anglais qui cite aussi bien les Smiths et Donovan que Neil Young et Everly Brothers comme références. Des illustres aînés avec lesquels il partage incontestablement le sens inné de la mélodie et du refrain. On appelle ça: un songwriter.
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